C’est un grand classique du gag cinématographique, c’est même le premier de tous, l’arroseur arrosé.
Cette fois-ci les plaisantins jouent avec le liquide mais ce n’est pas de l’eau : https://www.ouest-france.fr/Après l’affaire GameStop, les petits boursicoteurs font trembler Wall Street
Manifestement cette opération commando via les réseaux sociaux a l’air d’inquiéter les réseaux sociaux eux-mêmes pour qu’ils usent de pretexte plus ou moins fallacieux pour tenter d’enrayer l’épidémie.
Il est vrai qu’en touchant à l’argent, cette myriade de petits joueurs a touché à un tabou pour ces gens-là qui savent pertinement que leur richesse est largement bâtie sur du vent.
Alors, imaginez l’effet dévastateur que peut avoir la démonstration qui vient d’être faite : «la valeur d’une entreprise en Bourse n’a rien à voir avec ce qu’elle représente, la preuve quand vous disiez que telle entreprise ne vaudrait plus rien, nous avons démontré en utilisant vos méthodes qu’au contraire, elle pouvait briller au pinacle. » et tout cela sans que l’activité et donc la valeur intronsèque de l’entreprise en question n’ait bougé d’un iota.
Est-ce à dire que la richesse des plus riches du monde n’est qu’une fiction ? C’est en partie vrai mais en partie seulement parce qu’il reste quand même une réalité incontournable, le fait que ces entreprises font du profit, de plus en plus de profit même si j’en crois les chiffres publiés par certaines de ces entreprises du cyber-espace pour les derniers mois de 2020. Comme quoi, ceux-là n’ont pas trop à s’en faire de ces petits manipulations dans l’économie virtuelle, sauf peut-être à ce que les gens finissent par se rendre compte que la cyber-économie est justement virtuelle.
Alors tout le monde verra que le roi est nu !
Il y a de quoi avoir peur…pour eux.